Berzelius, Jöns Jakob, Essai sur la théorie des proportions chimiques et sur l' influence chimique de l' électricité

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204184SUR LA THÉORIE tome de mercure est à celui de l’atome du sul-
fate de l’oxide (sulphas hydrargyricus), comme le
poids du mercure employé est au poids du sulfate
obtenu, c’est-à-dire 2531.
6: 3733. 92 = 12: 17. 7.
Pour déterminer la quantité du muriate de soude
nécessaire pour la décomposition du sulfate de
mercure, on peut également dire:
un atome de
mercure est à un atome de muriate de soude,
comme 12, c’est-à-dire, le poids du mercure em-
ployé, est au nombre cherché;
ou bien un atome de
sulfate de mercure, est à un atome de muriate de
soude, comme 17.
7, c’est-à-dire, le poids du sulfate
de mercure obtenu, est au nombre que nous cher-
chons:
le résultat des deux méthodes sera le même.
Nous nous servirons ici de la première.
Or, ayant
trouvé le poids de murias natricus 1467.
14, notre
calcul sera 2531.
6: 1467. 14 = 12: 6. 95. La
quantité du sublimé corrosif peut également être
trouvée de plusieurs manières;
mais la plus
simple est de dire qu’un atome de mercure est à
un de muriate de mercure oxidé (murias hydrar-
gyricus = 3416.
9), comme douze est au nombre
cherché, c’est-à-dire 2531,6:
3416. 9 = 12: 16. 2;
d’où il s’ensuit que 12 p.
de mercure donneront
16.
2 p. de sublimé corrosif.
Il s’agit de savoir combien de vitriol de fer il
faut employer pour précipiter 60 p.
d’or de sa
dissolution.
Un atome d’oxide d’or contient trois
atomes d’oxigène.
Un atome de sulfate de

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